Les Sirènes de Bagdad 3

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Les Sirènes de Bagdad Yasmina Khadra

Les Sirènes de Bagdad de son vrai nom Mohammed Moulessehoul, est né en 1955 dans le Sahara algérien. Écrivain de langue française, son œuvre est connue et saluée dans le monde entier. La trilogie Les Hirondelles de Kaboul, L’Attentat et Les Sirènes de Bagdad, consacrée au conflit entre Orient et Occident, a largement contribué à la renommée de cet auteur majeur. La plupart de ses romans, dont À quoi rêvent les loups, L’Écrivain, L’Imposture des mots et Cousine K, sont traduits dans 42 pays. Récemment, Les Anges meurent de nos blessures (2013) et Qu’attendent les singes (2014) ont paru aux éditions Julliard.

La Sirène de Bagdad est axé sur l’histoire de Kafr Karam. Un petit village aux confins du désert irakien. On y débat devant la télévision, on s’y ennuie, on attend, loin de la guerre que viennent de déclencher les Occidentaux. Mais le conflit va finir par rattraper cette région où la foi, la tradition et l’honneur ne sont pas des mots vides de sens. Quand une nouvelle humiliation vient profaner ce qu’un Bédouin a de plus sacré, alors s’ouvre le temps de la colère et de la riposte. Seul le sang pourra laver ce qui a été souillé.

Les Sirènes de Bagdad … :

Les Sirènes de Bagdad de Yasmina Khadra
Les Sirènes de Bagdad de Yasmina Khadra

Extraits de Les Sirène de Bagdad PDF:

Les Sirènes de Bagdad Extrait 1:

« Devant le grand portail en fer de la bâtisse, badigeonné d’un marron rebutant, Omar le Caporal s’amusait avec un chien. Dès qu’il M’aperçut, il envoya un coup de pied dans l’arrière-train du quadrupède qui s’écarta dans un gémissement et me fit signe d’approcher:

-Je parie que tu es en chaleur, me lança-t-il.

T’es venu voir si une brebis égarée traînait dans le coin, pas vrai ?

Omar était un malaise itinérant. Au village, les jeunes n’appréciaient ni la crudité de ses propos ni ses allusions malsaines ; on le fuyait comme la peste.

Son passage dans l’armée l’avait dévoyé. » Source : Les Sirènes de Bagdad .

Les Sirènes de Bagdad Extrait 2 :

« Au bout d’un interminable calcul mental, Bilal se racla la gorge :

– C’est à toi, Adel.

Adel se remit à vérifier son jeu, les lèvres en avant. Il prenait son temps, indécis.

– Alors, tu te secoues ? S’impatienta Salah.

– Hé, protesta Adel, faut que je réfléchisse.

-Arrête de frimer, lui fit Omar. Le dernier gramme de cervelle qui te restait, tu l’as évacué ce matin en te branlant.

Une véritable chape de plomb s’abattit sur le troquet…Les jeunes qui étaient près de la porte s’éclipsèrent ; les autres ne surent où donner de la tête. » Source: Les Sirènes de Bagdad en .

Autres romans :

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